1 août 2008
Nature
Sur la nature de l'amour mes personnages s'interrogent ; sitôt qu'ils croient tenir une réponse, elle fond en eau. Moi, j'orchestre. S'interroger sur la nature de l'amour, c'est comme marcher sur la banquise, c'est avoir le vertige, c'est boire du vin dans un verre qui n'est pas le mien.
Il faudra que je songe à filtrer les métaphores au lieu de les empiler l'une sur l'autre. Choisir.
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